Brabant wallon – abbaye de Villers-la-Ville - EO 1997 – rare
« La vente des biens nationaux dans le Département de la Dyle »
de François ANTOINE
Une somme sur l’« opération satanique d’anticléricaux » aux origines de l’implantation de la bourgeoisie bruxelloise dans le Brabant wallon.
Mots-clés : abbaye de Villers-la-Ville, Boël, ferme du Chenois, UCL à Ottignies, Mosselman, Maximilien Plovits, couvent des Carmes à Wavre, ferme Maximilien à Thorembais, Pierre-Françpos Tibergien, Daniel-Patrice Hennesy, Ferdinand de Meûs, etc.
Avec de nombreuses annexes : cartes et graphiques, chronologie détaillée de 1753 à 1846, liste des couvents aliénés, notices biographiques, sources, Bibliographie, et Index des noms de lieux et de personnes.
Je joins l’article de présentation du Soir du 17 janvier 1998.
(persee)
Il s'agit de la publication d'une thèse de doctorat, dirigée par le professeur H. Hasquin et soutenue par l'auteur en novembre 1996 à l'Université Libre de Bruxelles. Situé en pays brabançon, au cœur de la Belgique, le département de la Dyle créé en octobre 1795, fort de ses 387 communes, dont les cités de Bruxelles, Louvain et Nivelles, constituait à cet égard un excellent observatoire, puisque cette vaste opération de redistribution
foncière y a concerné près de 20 % de la superficie du ressort, quelque 125 couvents, 973 maisons et bâtiments, 343 fermes, 77 moulins et plus de 5 000 acquéreurs.
François Antoine a su restituer le phénomène de la vente des biens nationaux dans toute son épaisseur et ses implications historiques, apportant une importante contribution au travail de réécriture d'un passé national, trop longtemps marqué par les clichés antirévolutionnaires et antifrançais.
Bruxelles, Archives générales du Royaume, EO 1997, dim. A4, 544 pages, poids total : 1 kilo 387 grammes.
Sous forme de syllabus, classique état d’usage de couverture et bel état général. Selon mes photos.
Petit prix sympa pour ce livre non vu à la vente en date de rédaction de la présente.
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